Un contexte de phrase, peut-être, pour aider ? :
"Avant que nous ululassions, nous avions cru ne plus retrouver le chemin du nichoir"
Voila....
L’instant chouette de Rozavern
Et c’est reparti !... Cette année, le feuilleton ne se passe pas dans le hangar, comme les années précédentes, avec les chouettes Effraies, mais dans le nichoir dit "à Hulottes", quelques part au fond d’un bois.
Relisez cet article si vous voulez recontextualiser un peu le sujet.
En mars, et pendant la nuit de la chouette que nous avions organisée chez nous, nous avions déjà entendu et remarqué qu’un couple de hulotte avait mis une option sur l’appartement que nous leur avions proposé, perché à huit mètres au dessus du sol dans un grand chêne.
Une fois le nichoir investi, Madame Hulotte y a pondu deux œufs (les Hulottes pondent en général un peu moins d’œufs que les Effraies), qu’elle a couvé pendant plusieurs semaines, ravitaillée par le mâle, son keum, et ne sortant que pour quelques courtes balades "de propreté".
Le 14 avril dernier, de nouveaux petits bruits ont commencé à se faire entendre, sous la masse de plumes de la maman chouette. Et lors d’une de ces sorties, justement, nous avons pu avoir confirmation de ce que nous pensions ; les œufs avaient éclos, et deux petits poussins étaient nés.
Maintenant, la maman chouette s’occupe de ses petits en leur proposant les plats à emporter que ramène le papa : haché de campagnol, tartare de musaraigne, carpaccio de mulot, et autres plats typiques de la gastronomie "Chat-Huanesque"...
Dans quelques semaines, comme leurs parents, les petits avaleront tous ces petits rongeurs tout rond, et feront leurs premières pelotes de réjection.
Suite au prochain épisode.
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